Chelles gare, lieu de vie

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Introduction

 

Passionné par les transports et travaillant à l’Agence d’Etudes des gares, à la SNCF, d’abord dans le cadre de mon stage long sur les nouveaux espaces pour les grandes gares du futur TGV-Est, et aujourd’hui en CDD pour le développement de ces gares notamment par le biais de l’image de synthèse, il me semblait intéressant de me concentrer sur une gare que je fréquente de façon régulière. En effet, toute l’attention des médias et donc du grand public est focalisée sur les grands travaux et  donc surtout par tout ce qui tourne autour du TGV. Si les gares nouvelles du TGV et en premier lieu les trois dernières livrées (Aix, Avignon, Valence), attirent l’attention c’est parce qu’elles offrent des nouveaux standards de confort et véhiculent une nouvelle image architecturale des gares - sans parler des déboires liés à une ouverture prématurée en juin dernier.

Mais la SNCF ne s’occupe pas que de gares nouvelles. Les réhabilitations vont jusqu’aux plus petites gares. Bien sûr, entre les deux, on trouve la gare de banlieue parisienne. La quantité de voyageurs qui y transite est très proche de celle de certaines grandes gares de province. C’est bien ce paradoxe qui m’intéressait. Une petite gare où le voyageur ne fait que passer au rythme pendulaire de sa journée. Offrir une nouvelle centralité, offrir un vrai lieu de vie.

De plus l’année dernière j’ai travaillé sur un mémoire ayant pour thème les rapports entre transports et urbanisme à Tokyo ; un thème riche et fort, très proche de mon sujet de diplôme.

On va donc voir comment les gares lieu de vie se développent, ce qui caractérise la gare de banlieue parisienne et enfin comment adapter ces concepts et expérimentation sur une gare du quotidien.

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